Addiction et toxicomanie
CIFEO est une bonne ressource si vous souhaitez :
– Mieux comprendre les comportements d’addictions ;
– Réduire les méfaits de la consommation ;
– Travailler sur la prévention de la rechute ;
– S’informer davantage sur les effets de la consommation et les étapes sécuritaires à suivre pour sevrer (psychoéducation) ;
– Recevoir un accompagnement psychosocial lors des démarches en réduction et d’établissement de nouvelles habitudes ;
– Recevoir des services thérapeutiques pour adresser la ou les sources du comportement addictif.
CIFEO n’est pas une bonne ressource si vous avez/souhaitez :
– Problèmes de santé mentale graves nécessitant des soins spécialisés immédiats ;
– Implication active dans des comportements criminels ou des problèmes juridiques pouvant entraver le processus thérapeutique ;
– Manque de volonté de participer au traitement ou de s’investir activement dans les séances de thérapie (s’assurer du volontariat) ;
– Conditions médicales nécessitant une surveillance constante ou dépassant les capacités de l’établissement de traitement ;
– Absence de conditions de vie stable ou d’un environnement sûr pour soutenir les efforts de rétablissement ;
– Personne ayant déjà fait preuve de non-conformité avec des programmes de traitement antérieurs pour la dépendance ;
– Personne suivant actuellement un autre programme de traitement intensif pouvant entrer en conflit ou compromettre le processus de counseling pour la dépendance ;
– Personne présentant un risque significatif de se nuire à eux-mêmes ou aux autres et nécessitant une intervention psychiatrique ou médicale immédiate ;
– Personne nécessitant un sevrage supervisé afin de réduire leur consommation de façon sécuritaire (ce point s’applique spécifiquement pour les gens ayant une consommation élevée et fréquente d’alcool) ;
Ces critères sont établis afin d’assurer que la thérapie et le counseling en matière de dépendance soient efficaces et sûrs à la fois pour la personne cherchant de l’aide et les thérapeutes fournissant des soins. Ils contribuent à s’assurer que les ressources de traitement sont allouées à ceux qui peuvent en bénéficier le plus.